Les dettes d’études sont une des principales préoccupations des milléniaux québécois. Les québécois bénéficient d’un accès relativement abordable aux études supérieures qui est maintenant la norme pour pouvoir aspirer à une carrière stable ou un emploi rémunérateur.
Obligations
Dans bien des cas, les coûts associés à cette formation pèsent de plus en plus sur le budget. La pression que vivent les nouveaux diplômés s’accentue lorsqu’on additionne les coûts reliés au matériel scolaire, les frais de logement, de transport, et les autres dépenses courantes sans négliger l’inflation qui oblige à faire des choix difficiles.
Préoccupations
Ce fardeau pour le nouveau diplômé a un impact sur ses futures décisions. Que ce soit pour l’achat d’une première maison, avoir des enfants ou même dans le choix de poursuivre sa carrière dans son champ d’études.
Dettes
Une fois le diplôme en main et après avoir trouvé un emploi, il est maintenant le temps de commencer à rembourser le ou les prêts étudiants. Quand on ajoute les dettes sur carte de crédit, le versement du prêt auto et le cout du loyer aux dettes d’études, il est parfois même souvent difficile de voir le bout.
Solutions
Il existe diverses solutions pour se libérer de ses dettes et bien repartir. Plusieurs idées préconçues planent en l’air en ce qui a trait au sort réservé aux dettes d’études dans une faillite ou une proposition de consommateur et il est donc important de consulter un syndic autorisé en insolvabilité pour y voir clair.
Les dettes d’études ne sont pas toutes les mêmes!
Une rencontre virtuelle gratuite et sans obligation avec un syndic ou une conseillère de Ginsberg Gingras pourrait réduire le stress que représente le remboursement de ses dettes.
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