Les 9 mythes sur la faillite et l’endettement

Faux. À moins que vous ne choisissiez d‘en parler, personne ne connaîtra vos problèmes d’endettement. Dans l’éventualité où vous déclareriez une faillite sommaire ou déposeriez une proposition de consommateur, seuls vos créanciers en seront informés. Les démarches seront effectuées en toute discrétion.

Faux. Bien qu’une faillite affecte le dossier de crédit, il est possible de le rebâtir. Avec de bonnes habitudes financières, vous pourrez améliorer graduellement votre réputation financière auprès des institutions prêteuses.

Faux. Les dettes d’impôts, comme la majorité des prêts de votre endettement, seront effacées à la fin de votre faillite. Il en va de même pour la proposition de consommateur.

Faux. Des mesures existent pour conserver certains biens indispensables tels que les meubles, les électroménagers, les effets personnels et les outils essentiels au travail. Dans certains cas, vous pourriez même garder votre voiture et votre maison.

Faux. S’il n’y a aucune dettes conjointes, il est possible de faire faillite sans que son conjoint ou sa conjointe en subisse un préjudice.

Faux. Une rencontre avec un syndic autorisé en insolvabilité n’a aucun impact sur votre cote de crédit. Au contraire, un SAI vous conseillera adéquatement pour vous aider à sortir de l’endettement.

Les émotions engendrées par une faillite ou une proposition de consommateur varient d’une personne à l’autre. Il est donc possible et naturel de ressentir une certaine honte. Sachez cependant que vous ne serez jamais jugé chez Ginsberg Gingras lorsque vous nous confierez vos problèmes. En fait, les gens qui bénéficient de notre aide retrouvent rapidement un sentiment de fierté, car ils parviennent à s’acquitter de leurs responsabilités financières et à envisager l’avenir positivement.

Faux. La faillite est plus courante qu’on le croit. Chaque année, plusieurs consommateurs déclarent faillite. En 2015 seulement, plus de 120 000 Canadiens ont déposé un dossier d’insolvabilité. Un sondage Ipsos Reid a même révélé qu’un Canadien sur dix a recours aux services d’un syndic autorisé en insolvabilité au courant de sa vie. Alors si vous devez faire faillite, vous n’êtes pas seul dans cette situation.

Faux. Les honoraires des syndics autorisés en insolvabilité sont fixés par la Loi sur la faillite et l’insolvabilité (LFI). De plus, la première consultation est gratuite et sans obligation.